Oui, la France est en guerre car l’Etat, par le biais de ses gouvernements successifs, l’a décidé.
Non, les derniers meurtres de masse à Paris ne sont pas une attaque « des valeurs de la France ». Ou alors la destruction de l’avion Russe est une attaque des valeurs de Poutine ? L’explosion de Beyrouth est une attaque des valeurs du Hezbollah ? Non, là, tout le monde est d’accord pour dire qu’il s’agit de représailles contre les attaques des armée Russes et du Hezbollah contre Daech
Non, il ne s’agit (...)
Articles les plus récents
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A propos des meurtres de masse perpétrés à Paris la nuit du 13 au 14 Novembre.
15 novembre 2015 -
Qu’est-ce que la guerre aujourd’hui ? Et de la nécessité de penser une politique de paix.
8 novembre 20151°) Nous avançons le point suivant : la guerre est entrée dans la pratique quotidienne de nombreux Etats, car elle est devenue, pour ces états, pour les gouvernements de ces états, la politique elle-même. La pensée qu’ils ont de ce que doit être la politique aujourd’hui se concentre dans la guerre. C’est là une situation nouvelle, certainement ouverte au niveau mondial par l’administration Bush. Cela a pour conséquence immédiate, et vérifiable, de faire vivre des populations entières en état de tensions (...)
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Parents, enseignants, habitants, ON PEUT, ON DOIT S’OCCUPER DE CE QUI ARRIVE AUX ENFANTS, A L’ECOLE, DANS LE QUARTIER.
6 novembre 2015Nous faisons connaître ce texte, écrit par une Assemblée de parents/enseignants/ habitants. Il interroge sur la réforme du collège prévue pour 2016.
Nous disons que l’école de nos enfants, l’école du quartier, c’est NOTRE école à nous, parents, enfants, habitants, enseignants, personnels des écoles et du collège. C’est un lieu essentiel pour le présent et l’avenir des enfants, pour notre vie à tous. Ce qui s’y passe, c’est notre affaire, on ne peut pas, on ne doit pas s’en désintéresser.
En même temps, ça (...) -
Quand l’Etat n’a plus à se justifier de la défense de l’intérêt général, et du droit des gens que reste-t-il dans sa politique ?
12 septembre 2015Quand l’Etat n’a plus à se justifier de la défense de l’intérêt général, et du droit des gens que reste-t-il dans sa politique ?
Qu’avons-nous, chacun et collectivement, à dire sur l’intérêt général et sur le droit des gens ?
Que pouvons-nous en faire ?
1) Grecs mis à genoux, réfugiés persécutés et abandonnés/poussés à la mort, politiques dites « d’austérité » mises en place dans tous les pays européens, politiques d’extrême-droite qui prennent le dessus dans nombre de pays d’Europe : quel point commun entre ces (...) -
NOUS NE VOULONS PAS D’UN PAYS ENNEMI DE SES ENFANTS !
31 mai 2015Nous faisons connaître ce texte, écrit par une Assemblée de parents, enseignants, habitants. Il nous semble important de le faire connaître car il pointe des questions essentielles pour démêler la situation actuelle.
1. Un enfant = un enfant. Ceci peut sembler une évidence, mais tout dans la société actuelle et le système scolaire va à l’encontre de cette affirmation. C’est pourquoi il faut le redire haut et fort.
Affirmer qu’un enfant = un enfant, c’est
affirmer que tous les enfants du pays ont (...) -
Si "République" est ce qui permet de surveiller, d’humilier et de persécuter une partie de la population
25 mai 20151°) SI LA NOTION DE « RÉPUBLIQUE » EST CE QUI PERMET DE SURVEILLER, D’HUMILIER ET DE PERSÉCUTER UNE PARTIE DE LA POPULATION, ALORS IL FAUT VITE CHANGER DE MODÈLE ET D’ÉNONCÉ !
Le gouvernement et les partis politiques sont en train de constituer, discours après discours, mesures après mesures, la figure d’un « ennemi intérieur ». Cela se donne principalement au travers de la notion de « vrais » et « faux français », en lien avec la religion et les lieux d’habitation (notamment au travers de l’appellation « (...) -
"Ici, Ensemble" N°28, Printemps 2015
25 mars 2015Au sommaire : Editorial : « Présenter ce qu’on veut, ce qu’on pense, non à partir de l’Etat, mais à partir du réel » ;« Soit on m’appelle par mon nom, soit on m’appelle « partisan de la France » ;« Il faut protéger les enfants, et c’est notre affaire à nous adultes » ;« Il faut sauver les enfants » ;« Il y a quelque chose de grave dans le fait d’enlever la nationalité à quelqu’un » ;« Si tu perds ce papier, tu seras comme tes parents » ;« Y a-t-il des alternatives au vote et à la simple abstention ? »« 8 (...)
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Y A-T-IL DES ALTERNATIVES POSSIBLES AU VOTE ET À LA SIMPLE ABSTENTION ?
15 mars 2015Y A-T-IL DES ALTERNATIVES POSSIBLES AU VOTE ET À LA SIMPLE ABSTENTION ?
Rencontre le jeudi 29 Mars, 18h30.
Pour tenter d’y répondre, nous proposons de développer et débattre les points suivants :
1) Que sont les élections, si ce n’est la forme organisée que propose l’état aux gens afin que ceux-ci le reconnaisse comme le seul lieu politique possible et envisageable ?
Le parlementarisme et le vote servant, en dernier ressort et quelque soit le résultat des scrutins, de légitimation de l’état et (...) -
8 propositions de travail pour une politique de paix dans le Pays
11 février 2015Tout d’abord, le mot « paix », si on l’utilise doit être clarifié, il faut dire ce que l’on entend par ce mot, ce que l’on en attend.
Par « paix », nous entendons la prise en compte de chaque habitant du pays, tel qu’il est, et la primauté du principe un habitant = un habitant, une vie = une vie, sur une quelconque raison d’état nationaliste ou identitaire.
« Paix, » signifie aussi qu’il faut en finir avec le mépris, l’humiliation à l’égard d’une partie de la population du pays, française ou non.
Il est (...) -
« TERRORISME » NE PERMET PAS DE RENDRE COMPTE DE CE QUI S’EST PASSÉ. C’EST D’UNE PROPOSITION, EN ACTE, D’UNE POLITIQUE CRIMINELLE DONT IL FAUT PARLER.
12 janvier 2015Des gens, militants d’une politique criminelle, sont passés à l’acte. Il s’agit d’une tuerie de la veine de « Viva la muerte », ce cri que lançaient les milices fascistes pendant la guerre civile espagnole, et qui appelait et autorisait à tuer tous ceux qui se trouvaient sur leur passage et qui n’étaient pas d’accord avec eux.
1) De quelle politique sont-ils porteurs ?
Ce sont des individus porteurs d’une politique de guerre civile, de la dévastation, de la séparation des gens à l’infini, de (...)